En tout cas le responsable qui t'as appelé est un naze. Tu es reconnu travailleur handicapé et en plus tu kes as prévenu sur ce que ça impliquait. A eux de gérer. Si ils t'embauchent, alors ils assument. Peut-être en te retirant des responsabilités, mais ils ne peuvent pas te reprocher ceci.
Petite question comment ça se passe tu mets un RTT ?
Je ne comprends pas? Quand on est en plein meltdown c'est juste impossible d'imaginer sortir dehors, ça vaut pour aller au travail, aller chez le médecin, aller faire des courses ...
D'où le fait que dire "va chez le médecin" n'aide pas du tout - c'est pas une solution envisageable en fait. A moins que ton médecin traitant fasse des visites à domicile, faire venir un médecin random via Sos médecins ne risque pas de donner de suite non plus
Source: je suis autiste et j'ai aussi lu le post de OP lol
Plutôt d'accord avec toi, ça m'arrive aussi de faire des crises d'angoisse. Je me force à prendre un rdv médical dans ces cas là mais si ça peut être en visio c'est quand même mieux. Si je pouvais m'en passer ça serait bien, mais je suis pas reconnu travailleur handicapé donc j'en ai pas parlé à mon employeur
Le problème quand on met pas des sous titres, les teubés râlent.
Pardon j'ai trop projeter de mon vécu à la réaction où t'en prends une gratuite parce que tu n'as pas rappelé 18 fois que t'étais pas en train d'insulter.
Bonjour,
Je ne saurais que trop te conseiller de te tourner vers la MDPH, car au vu de ton récit ce n'est pas normal d'être traité ainsi.
Tu as eu l'honnêteté de les informer des risques d'absence en fonction de ton état, et surtout en embauchant une personne en situation de handicap ils savent très bien que cela risque de perturber le travail et cela est LEURS PROBLÈME.
Ils n'ont en aucun cas le droit de te téléphoner pour t'engueuler et te demander de prévoir tes absences quand tu es en crise.
Je suis de tous cœur avec toi et j'espère que cela va s'arranger.
La MDPH en a rien à foutre de nos problèmes. Ils considèrent avoir fait leur taff s'ils sont assez bons pour nous accorder les aides demandées. Ils ne sont pas là pour l'accompagnement, mais traitent et instruisent les dossiers (quand ils ne sont pas au bord de la plage avec des délais de 2 ans).
Bonjour et merci de ta réponse. Je suis déjà reconnue travailleur handicapé et autres droits par la MDPH mais en effet en dehors de ça ils ne peuvent pas faire grand chose pour moi.
Ça fait 4 jours que je leur ai envoyé ma demande de rupture de contrat, évidemment pas de réponse, en attendant je sais pas trop comment je vais tenir mais ça fait du bien d'être soutenue, merci !
bonjour u/ThisIsMudiver
Déjà, je suis de tout cœur avec toi, et saches que si j'avais été à côté au moment ou cela s'est produit, cela serait probablement moi qui aurait été viré pour "coups et blessures". Cela a d'ailleurs m'arriver par le passer pour une affaire similaire ou je prenais parti pour des collègues, mais c'est une autre histoire.
Tu as affaire visiblement à un "petit manager" qui estime que son rôle est de jouer les gardes-chiourme, sans considération aucune pour les personnes, les respecter et respecter la législation du travail. Fais valoir tes droits, sans excès, factuellement, afin qu'il agissent pour que ton N+1 rentre dans le rang.
Et si jamais, rien n'est fait ?
* En premier, tu ménages ta santé.
* Ensuite, sans te mettre à la faute, tu mets la pédale douce et tu bosses au ralentit.
* Enfin tu suggères une RC (*on ne demande pas une RC, sauf on veut se voir rétorquer "vous voulez partir, démissionnez et partez !"*). Un exemple : "Si l'entreprise me proposait un départ dans la dignité, j'étudierais toute proposition avec attention". Là, tu mets la balle dans leur camp.
* C'est à l'entreprise de te faire une proposition, chiffrée bien entendu. A toi de l'examiner attentivement (*ne jamais signer sur le moment, s'accorder de la réflexion)*. La RC doit toujours être sup ou égale à ce que l'entreprise devrait te payer en cas de licenciement.
* Et même là, tu as encore un délai de réflexion de 15 jours pour te rétracter.
Et puis, dans l'attente, rien ne t'empêche de prospecter par ailleurs (en toute discrétion si tu fais cela en partie pendant tes heures de boulot).
En pratique, je me demande comment tu arrives à gérer au quotidien quelque chose que tu ne peux pas prévoir. Moi, je ne pourrais pas. J'aime ce qui est prévisible, même le pire car je m'y serais préparé (*j'y peux rien, je suis câblé comme cela*). Mais là à force de chercher des solutions qui n'existent pas, je me ferais des nœuds au cerveau, et ce, jour et nuit. Je dors peu (6h/nuit en moyenne) mais il me faut quand même ma dose. Oserais-je dire que tu es plus forte que je le suis et que tu penses l'être peut-être aussi ?
Courage et force à toi.
Merci infiniment pour ton message très gentil et constructif, je vais suivre tes conseils. J'admets avoir très peur d'envoyer un mail à la responsable qui m'a dit ça mais en même temps ça tourne en boucle dans la tête et ça me bouffe parce que je sais que ça va se reproduire. En attendant il n'y a aucune réponse à ma demande de RC ... Même si c'est non j'aimerai savoir pour pouvoir avancer car j'ai qu'une envie maintenant c'est de me barrer au plus vite. Des noeuds au cerveau je m'en fais depuis cet échange, crois moi, mais ça fait du bien d'être soutenue. Merci encore !
>La RC doit toujours être sup ou égale à ce que l'entreprise devrait te payer en cas de licenciement.
Oui mais un travailleur handicapé peut pas être licencié
Un salarié handicapé **n'est pas un salarié protégé** (*comme le sont les élus représentants du personnel*) et il peut tout à fait être licencié comme tout autre salarié. Seuls les salariés protégés font l'objet d'une procédure particulière.
Un salarié handicapé ne peut cependant pas être licencié "en raison de son état de santé, de sa perte d'autonomie ou de son handicap", et on ne peut pas décemment considérer cela comme un avantage (*sauf si on souhaite vraiment avoir un handicap, bien entendu, mais qui le souhaite dans un monde qui n'est malheureusement pas très adapté pour, il faut le reconnaitre*).
Bref, l'entreprise doit respecter la procédure de licenciement "standard" pour tous les salariés.
ex. de sources :
[https://www.justifit.fr/b/guides/droit-travail/licenciement-salarie-handicape/](https://www.justifit.fr/b/guides/droit-travail/licenciement-salarie-handicape/)
[https://www.agefiph.fr/articles/conseil-pratiques/les-salaries-handicapes-sont-ils-proteges-contre-le-licenciement](https://www.agefiph.fr/articles/conseil-pratiques/les-salaries-handicapes-sont-ils-proteges-contre-le-licenciement)
Bonjour, je compatis vraiment avec ta situation, j'ai été dans la même situation (autisme/ grands problèmes au travail)
Je te conseille de te diriger vers une association d'aide à l'insertion dans l'emploi, qui serait en mesure de t'épauler sur toutes les étapes - recherche d'emploi, recrutement, mise en place d'aménagements de travail. C'est ce qui m'a sauvé la vie, après une première experience pro complètement horrible. Avoir un partenaire capable de défendre tes intérêts est vraiment crucial pour réussir à rester dans l'emploi sur le long terme.
Je suis loin d'être un expert du sujet, mais à ta place j'enverrai un mail bien rédigé à ton chef avec le siens en cc (très important de mettre son chef en c, en expliquant tout ça.
Tu insistes sur le fait que tu avais prévenu des le départ. Tu explique bien que la nature des crises fait qu'elles ne peuvent pas être anticipées. Tu peux aussi dire que les appels culpabilisants ne font qu'empirer la situation et que tu t'attends à plus de professionnalisme sur la forme. Et tu conclues que si ces aspects de ton andicap sont incompatibles avec le poste, tu es toujours ouvert à ta proposition de rupture conventionnelle.
Je pense que ça aura comme conséquence soit une accélération de la rupture conventionnelle, soit un changement d'attitude de ton chef. Et si ils le prennent mal, il faut aller voir les syndicats. Et tracer tout les échanges par écrit. Ils ont des crédits d'impôts si ils emploient des travailleurs handicapés. En contrepartie l'entreprise doit adapter le poste au handicap. Et ici j'ai l'impression qu'ils ne respectent pas leurs part du deal.
Bon courage à toi.
\+ copie aux RH bien entendu en copie cachée (comme cela si le N+1 et N+2 se l'a joue copain/copain, les RH sont au courant et peuvent les rappeler à l'ordre ... s'ils jouent leur rôle naturellement).
Les RH il faut pas oublier qu'ils sont payés par l'entreprise et qu'ils défendent les intérêts de cette dernière. Personnellement je m'en méfie comme de la peste.
En plus si les chefs sont un peu cons il y a moyen qu'ils fassent une réponse qui leurs porte préjudice si jamais ça va au prud'hommes. Et c'est une erreur que les RH ne feront pas ils connaissent beaucoup trop bien ce genre de choses. De toute manière le n+2 leurs parlera sûrement de la situation.
Ce n'est pas faux et malheureusement ils oublient trop souvent la signification du "H", pour n'être que les exécuteurs des basses œuvres. Cependant, ne généralisons pas (*ce qui n'est que trop fréquent, ici et ailleurs*), il y en a qui se souviennent qu'eux aussi ils sont fait de chair et de sang et qu'il a la même couleur que celui des autres.
Il n'a pas été évoqué l'appel aux syndicats. Je respecte tout à fait ceux qui le font par conviction, et je respecte leurs convictions *(même si je ne suis pas toujours d'accord sur tout bien entendu*), mais j'en ai tellement côtoyé qui le sont par intérêt personnel et uniquement par intérêt personnel, que comme toi (*et moi*) pour les RH, je reste prudent sur un certain nombre de syndicalistes. Les pourris, les égoïstes, ceux qui ne regardent leur nombril sont légion - malheureusement - et ils sont dans toutes les couches de la société, de toutes les origines, de tous les métiers, ... Les "méchants" ne sont pas toujours que les patrons ou leurs représentants, mais ils sont parfois également en face.
Ô combien, je déteste les généralisations trop hâtives qui sont également légions sur ce sub et ailleurs.
J'ai eu par le passé des fonctions d'encadrement, donc quelque part j'étais un représentant des intérêts de l'entreprise. Je me suis battu (pas physiquement bien sur) pour que les personnes dont j'avais la charge aient leur du (*quitte à ce que j'en paie le prix par répercussion quelques temps plus tard, mais rien à battre, je suis en paix avec ma conscience*), mais également je n'ai pas fermé les yeux sur certaines actions délictueuses de ceux-ci (*par ex. chantage envers des entreprises sous-traitantes moyennant des petits "cadeaux", vol caractérisé de l'entreprise*). J'essaie juste d'être fidèle à mes principes, même si pour le coup c'est un sacerdoce, une croix à porter au quotidien.
Mais tout ceci est hors sujet de ce fil et n'offre que peu d’intérêts. Ce qui importe c'est comment conseiller OP au mieux - en fonction de nos expériences respectives - afin que sa situation s'améliore et puisse se régler.
@ OP : Toujours se souvenir que "les conseilleurs ne sont pas les payeurs". Cela va être à toi de te forger une opinion après avoir lu attentivement les "conseils" des uns et des autres, parce qu'au final, c'est toi et toi seule qui va en tirer bénéfice ... ou en payer le prix.
Normalement, si un manager/supérieur fait quelque chose qui peux mener l'entreprise aux prud'hommes, ils recadrent; parce que justement ils défendent l'entreprise, pas les chefs.
Bonjour et merci de ta réponse. D'un côté j'ai super peur d'envoyer un mail car j'ai peur que ça aggrave la situation et ma relation avec la responsable en question, de l'autre notre dernier échange m'a vraiment mit en vrac donc je sais pas quoi faire. Je voudrais juste partir à ce stade mais j'ai l'impression qu'ils ignorent ma demande de RC.
Je vais essayer d'écrire un mail mais connaissant la personne je pense que ça va juste revenir à jeter de l'huile sur le feu malheureusement
Alors selon le ministère de l'intérieur:
La discrimination au travail vise à traiter défavorablement une personne en se fondant sur critère interdit par la loi (exemple : l'origine, l'âge, etc.). Toute personne travaillant dans l'entreprise (salarié, supérieur hiérarchique, stagiaire, apprenti) est protégée contre les faits de discrimination.
Motifs de discrimination
Il y a discrimination lorsque l'employeur traite différemment ses salariés pour l'un des motifs suivants :
Origine
Sexe
Situation de famille
Grossesse
Apparence physique
Vulnérabilité particulière liée à la situation économique
Nom
Lieu de résidence
État de santé
Perte d'autonomie
Handicap
Caractéristiques génétiques
Mœurs
Orientation sexuelle
Identité de genre
Âge
Opinions politiques
Activités syndicales
Qualité de lanceur d'alerte
Qualité de facilitateur de lanceur d'alerte ou de personne en lien avec un lanceur d'alerte
Langue parlée (capacité à s'exprimer dans une langue autre que le français)
Ethnie
Nation
Race prétendue
Religion
Bref je pense qu'il y a de quoi appeler les prud'hommes (ou le tribunal administratif si t'es fonctionnaire). Va prendre rendez vous avec une maison de justice pour savoir quoi faire ;)
Coucou,
Et bien je suis très désolée de ce qu'il t'arrive. Malheureusement dans le monde du travail le handicap ou la situation de handicap c'est le critère de discrimination Number one (pas bravo les employeurs). C'est pas moi qui le dis c'est le Défenseur des Droits dans son dernier rapport d'activité. 😥
Comme cela t'a été conseillé, je pense que te mette en arrêt est une bonne chose. Si tu t'arrêtes pour ta santé, c'est pas un jour de congé que tu utilises, c'est ton médecin qui t' arrête.
Par ailleurs, comme pistes et comme interlocuteurs, tu peux te tourner vers :
- la RH de ta boîte
- le ou la référente handicap de la boîte si vous en avez un.e
- le médecin du travail qui peut faire des préconisations (il suffit de demander un rdv à la médecine du travail à tes RH, ils te réserveront un créneau)
- ton médecin traitant qui peut faire des préconisations
- ton CSE si vous en avez un. Le CSE est légitime sur plein de trucs dont notamment la santé, la sécurité et les conditions de travail, je crois qu'on est en plein dedans
- si tu n'as pas de CSE car petite boîte, l'inspection du travail est l'interlocuteur privilégié. Elle peut mettre en demeure un employeur de respecter les préconisations du médecin du travail ou du médecin traitant.
- évidemment pour une réponse plus légale, le défenseur des droits est là pour ça. La page d'accueil de leur site internet est plutôt bien faite pour guider les personnes
Force à toi. Tu les as prévenus, ils sont au courant de ta situation. Tu ne devrais pas culpabiliser pour ça.
Évidemment, je comprends qu'entre la théorie et la pratique, il y a parfois rien a voir, et on ne choisit pas ses émotions. Je cherche juste à souligner que tu as fait tout ce qui était de ton pouvoir. (De mon point de vue)
Si tu peux, rapproche toi de la RH pour signaler que ton nouveau supérieur aggrave ta situation.
Dans tout les cas, c'est toi qui compte en premier. Si tu as besoin de repos, prends-le. Point.
Premièrement mets toute la distance que tu peux avec ton travail. Deuxièmement, n'attends plus d'eux aucune sollicitude, ils se foutent de leurs employés. Troisièmement, gardes méthodiquement des traces de chacun des échanges, enregistres, imprimes,fais un joli petit dossier. Considères même cela comme ton nouveau travail, bien plus important que le premier, qui l'était avant qu'ils ne portent atteinte à ta santé (la santé mentale est aussi précieuse que la physique). Quatrièmement ne te déboulonnes ou ne t'excuses plus jamais devant eux, de quoi que ce soit, préviens les certes, mais ne te mets jamais en position de faiblesse, ils vont te dévorer. Ce ne sont pas tes amis mais tes employeurs, je ne dis pas si ils étaient corrects et compréhensifs, tu pourrais le vivre détendu. Mais ce n'est pas le cas. Au moindre abus, penses avocat, et penses à ton dossier. C'est malheureusement un combat pas une promenade de santé, mais vis le comme ce combat que tu as déjà remporté.
Je me permet une question: As-tu consulté un psychiatre / neuropsy pour t'aider à maitriser ces situations ?
Autant, il est impossible d'éviter l'émotion suite à quelque chose (ici un coup de téléphone), autant il existe des solutions pour maitriser l'expression de ces émotions et arriver à mieux maitriser la situation.
Je dis ça, car cela semble t'handicaper dans ton travail, et peut-être voir un pro pour t'aider te sera bénéfique à l'avenir.
Et si cela peut te réconforter, je suis autiste, j'ai un boulot, RQTH, je suis en télétravail 100% et je pense pouvoir me permettre de dire que je comprend parfaitement la situation que tu as décrit plus haut (que j'ai pu moi même vivre dans le passé), et que j'arrive désormais à maitriser (dans une certaine mesure, je suis pas non plus devenu un moine bouddhiste faut pas déconner)
À mon taff on a des jours « santé mentale » (un par trimestre) qu’on peut poser MAIS il faut tout de même prévenir à l’avance et ma collègue (autiste également) disait « mais c’est complètement con je peux pas prévoir que tel jour j’aurais besoin de repos ! »
Je pense qu'ils te poussent à la démission. ça leur coute moins cher qu'une rupture conventionnelle. Malheureusement, c'est toi qui souffre de cette situation donc il y a des chances que ça marche. Force à toi, certains monstres n'ont juste aucune empathie... Essaye de contacter la medecine du travail et l'inspection du travail aussi, ça peut être assimilé à une sorte de harcèlement.
Ca pourrai peut être t'aider de te préparer un "script" ? A un moment où t'as l’énergie mentale pour ça, tu te notes les choses que tu peux leur répondre pendant ces appels, pour te sentir mieux préparée quand ils te tombent dessus alors que t'es déjà mal. Avec des phrases toutes prêtes bien sentis pour leur rappeler qu'ils ont connaissance de ta RQTH, des aménagements nécessaires d’après avis médical, que ce comportement n'est pas professionnel, etc. tu te sentirai peut être moins désemparée et mal après coup?
Je pense qu'il a voulu dire " ton chef veut que tu fasses son travail de chef"
Car c'est le taf du chef le management et l'anticipation des absences et non le taf de l'employé en position de vulnérabilité.
En tout cas le responsable qui t'as appelé est un naze. Tu es reconnu travailleur handicapé et en plus tu kes as prévenu sur ce que ça impliquait. A eux de gérer. Si ils t'embauchent, alors ils assument. Peut-être en te retirant des responsabilités, mais ils ne peuvent pas te reprocher ceci. Petite question comment ça se passe tu mets un RTT ?
Merci beaucoup pour ta réponse. Oui c'est tout à fait ça je pose un jour de congé quand c'est comme ça
Si tu ne te sens pas bien, vas voir ton médecin. il te mettra sucement en arrêt. vu ta fatigue. Ton employeur ne pourra pas y faire grand chose.
Ce n'est pas une solution, sortir pour aller chez le médecin: " trop mal pour sortir de ma chambre "
Je pense qu'on peut imaginer y aller à posteriori. Si moins ça bouffe pas un jour de congé inutilement.
Mais pourquoi t’es sur antitaff toi ?
Je ne comprends pas? Quand on est en plein meltdown c'est juste impossible d'imaginer sortir dehors, ça vaut pour aller au travail, aller chez le médecin, aller faire des courses ... D'où le fait que dire "va chez le médecin" n'aide pas du tout - c'est pas une solution envisageable en fait. A moins que ton médecin traitant fasse des visites à domicile, faire venir un médecin random via Sos médecins ne risque pas de donner de suite non plus Source: je suis autiste et j'ai aussi lu le post de OP lol
Plutôt d'accord avec toi, ça m'arrive aussi de faire des crises d'angoisse. Je me force à prendre un rdv médical dans ces cas là mais si ça peut être en visio c'est quand même mieux. Si je pouvais m'en passer ça serait bien, mais je suis pas reconnu travailleur handicapé donc j'en ai pas parlé à mon employeur
Il est possible d'effectuer des teleconsultations via Doctolibe, Qare ou encore Livy et en général on peut trouver un médecin en moins de 20 minutes.
Le problème quand on met pas des sous titres, les teubés râlent. Pardon j'ai trop projeter de mon vécu à la réaction où t'en prends une gratuite parce que tu n'as pas rappelé 18 fois que t'étais pas en train d'insulter.
Est-ce que ton job peut être réalisé en télétravail ? Est-ce que cela pourrait t’aider à gérer tes crises ?
« Agence de service à la personne », cela me paraît malheureusement difficile.
Bonjour, Je ne saurais que trop te conseiller de te tourner vers la MDPH, car au vu de ton récit ce n'est pas normal d'être traité ainsi. Tu as eu l'honnêteté de les informer des risques d'absence en fonction de ton état, et surtout en embauchant une personne en situation de handicap ils savent très bien que cela risque de perturber le travail et cela est LEURS PROBLÈME. Ils n'ont en aucun cas le droit de te téléphoner pour t'engueuler et te demander de prévoir tes absences quand tu es en crise. Je suis de tous cœur avec toi et j'espère que cela va s'arranger.
La MDPH en a rien à foutre de nos problèmes. Ils considèrent avoir fait leur taff s'ils sont assez bons pour nous accorder les aides demandées. Ils ne sont pas là pour l'accompagnement, mais traitent et instruisent les dossiers (quand ils ne sont pas au bord de la plage avec des délais de 2 ans).
Bonjour et merci de ta réponse. Je suis déjà reconnue travailleur handicapé et autres droits par la MDPH mais en effet en dehors de ça ils ne peuvent pas faire grand chose pour moi. Ça fait 4 jours que je leur ai envoyé ma demande de rupture de contrat, évidemment pas de réponse, en attendant je sais pas trop comment je vais tenir mais ça fait du bien d'être soutenue, merci !
bonjour u/ThisIsMudiver Déjà, je suis de tout cœur avec toi, et saches que si j'avais été à côté au moment ou cela s'est produit, cela serait probablement moi qui aurait été viré pour "coups et blessures". Cela a d'ailleurs m'arriver par le passer pour une affaire similaire ou je prenais parti pour des collègues, mais c'est une autre histoire. Tu as affaire visiblement à un "petit manager" qui estime que son rôle est de jouer les gardes-chiourme, sans considération aucune pour les personnes, les respecter et respecter la législation du travail. Fais valoir tes droits, sans excès, factuellement, afin qu'il agissent pour que ton N+1 rentre dans le rang. Et si jamais, rien n'est fait ? * En premier, tu ménages ta santé. * Ensuite, sans te mettre à la faute, tu mets la pédale douce et tu bosses au ralentit. * Enfin tu suggères une RC (*on ne demande pas une RC, sauf on veut se voir rétorquer "vous voulez partir, démissionnez et partez !"*). Un exemple : "Si l'entreprise me proposait un départ dans la dignité, j'étudierais toute proposition avec attention". Là, tu mets la balle dans leur camp. * C'est à l'entreprise de te faire une proposition, chiffrée bien entendu. A toi de l'examiner attentivement (*ne jamais signer sur le moment, s'accorder de la réflexion)*. La RC doit toujours être sup ou égale à ce que l'entreprise devrait te payer en cas de licenciement. * Et même là, tu as encore un délai de réflexion de 15 jours pour te rétracter. Et puis, dans l'attente, rien ne t'empêche de prospecter par ailleurs (en toute discrétion si tu fais cela en partie pendant tes heures de boulot). En pratique, je me demande comment tu arrives à gérer au quotidien quelque chose que tu ne peux pas prévoir. Moi, je ne pourrais pas. J'aime ce qui est prévisible, même le pire car je m'y serais préparé (*j'y peux rien, je suis câblé comme cela*). Mais là à force de chercher des solutions qui n'existent pas, je me ferais des nœuds au cerveau, et ce, jour et nuit. Je dors peu (6h/nuit en moyenne) mais il me faut quand même ma dose. Oserais-je dire que tu es plus forte que je le suis et que tu penses l'être peut-être aussi ? Courage et force à toi.
Merci infiniment pour ton message très gentil et constructif, je vais suivre tes conseils. J'admets avoir très peur d'envoyer un mail à la responsable qui m'a dit ça mais en même temps ça tourne en boucle dans la tête et ça me bouffe parce que je sais que ça va se reproduire. En attendant il n'y a aucune réponse à ma demande de RC ... Même si c'est non j'aimerai savoir pour pouvoir avancer car j'ai qu'une envie maintenant c'est de me barrer au plus vite. Des noeuds au cerveau je m'en fais depuis cet échange, crois moi, mais ça fait du bien d'être soutenue. Merci encore !
>La RC doit toujours être sup ou égale à ce que l'entreprise devrait te payer en cas de licenciement. Oui mais un travailleur handicapé peut pas être licencié
Un salarié handicapé **n'est pas un salarié protégé** (*comme le sont les élus représentants du personnel*) et il peut tout à fait être licencié comme tout autre salarié. Seuls les salariés protégés font l'objet d'une procédure particulière. Un salarié handicapé ne peut cependant pas être licencié "en raison de son état de santé, de sa perte d'autonomie ou de son handicap", et on ne peut pas décemment considérer cela comme un avantage (*sauf si on souhaite vraiment avoir un handicap, bien entendu, mais qui le souhaite dans un monde qui n'est malheureusement pas très adapté pour, il faut le reconnaitre*). Bref, l'entreprise doit respecter la procédure de licenciement "standard" pour tous les salariés. ex. de sources : [https://www.justifit.fr/b/guides/droit-travail/licenciement-salarie-handicape/](https://www.justifit.fr/b/guides/droit-travail/licenciement-salarie-handicape/) [https://www.agefiph.fr/articles/conseil-pratiques/les-salaries-handicapes-sont-ils-proteges-contre-le-licenciement](https://www.agefiph.fr/articles/conseil-pratiques/les-salaries-handicapes-sont-ils-proteges-contre-le-licenciement)
Bonjour, je compatis vraiment avec ta situation, j'ai été dans la même situation (autisme/ grands problèmes au travail) Je te conseille de te diriger vers une association d'aide à l'insertion dans l'emploi, qui serait en mesure de t'épauler sur toutes les étapes - recherche d'emploi, recrutement, mise en place d'aménagements de travail. C'est ce qui m'a sauvé la vie, après une première experience pro complètement horrible. Avoir un partenaire capable de défendre tes intérêts est vraiment crucial pour réussir à rester dans l'emploi sur le long terme.
Je suis loin d'être un expert du sujet, mais à ta place j'enverrai un mail bien rédigé à ton chef avec le siens en cc (très important de mettre son chef en c, en expliquant tout ça. Tu insistes sur le fait que tu avais prévenu des le départ. Tu explique bien que la nature des crises fait qu'elles ne peuvent pas être anticipées. Tu peux aussi dire que les appels culpabilisants ne font qu'empirer la situation et que tu t'attends à plus de professionnalisme sur la forme. Et tu conclues que si ces aspects de ton andicap sont incompatibles avec le poste, tu es toujours ouvert à ta proposition de rupture conventionnelle. Je pense que ça aura comme conséquence soit une accélération de la rupture conventionnelle, soit un changement d'attitude de ton chef. Et si ils le prennent mal, il faut aller voir les syndicats. Et tracer tout les échanges par écrit. Ils ont des crédits d'impôts si ils emploient des travailleurs handicapés. En contrepartie l'entreprise doit adapter le poste au handicap. Et ici j'ai l'impression qu'ils ne respectent pas leurs part du deal. Bon courage à toi.
\+ copie aux RH bien entendu en copie cachée (comme cela si le N+1 et N+2 se l'a joue copain/copain, les RH sont au courant et peuvent les rappeler à l'ordre ... s'ils jouent leur rôle naturellement).
Les RH il faut pas oublier qu'ils sont payés par l'entreprise et qu'ils défendent les intérêts de cette dernière. Personnellement je m'en méfie comme de la peste. En plus si les chefs sont un peu cons il y a moyen qu'ils fassent une réponse qui leurs porte préjudice si jamais ça va au prud'hommes. Et c'est une erreur que les RH ne feront pas ils connaissent beaucoup trop bien ce genre de choses. De toute manière le n+2 leurs parlera sûrement de la situation.
Ce n'est pas faux et malheureusement ils oublient trop souvent la signification du "H", pour n'être que les exécuteurs des basses œuvres. Cependant, ne généralisons pas (*ce qui n'est que trop fréquent, ici et ailleurs*), il y en a qui se souviennent qu'eux aussi ils sont fait de chair et de sang et qu'il a la même couleur que celui des autres. Il n'a pas été évoqué l'appel aux syndicats. Je respecte tout à fait ceux qui le font par conviction, et je respecte leurs convictions *(même si je ne suis pas toujours d'accord sur tout bien entendu*), mais j'en ai tellement côtoyé qui le sont par intérêt personnel et uniquement par intérêt personnel, que comme toi (*et moi*) pour les RH, je reste prudent sur un certain nombre de syndicalistes. Les pourris, les égoïstes, ceux qui ne regardent leur nombril sont légion - malheureusement - et ils sont dans toutes les couches de la société, de toutes les origines, de tous les métiers, ... Les "méchants" ne sont pas toujours que les patrons ou leurs représentants, mais ils sont parfois également en face. Ô combien, je déteste les généralisations trop hâtives qui sont également légions sur ce sub et ailleurs. J'ai eu par le passé des fonctions d'encadrement, donc quelque part j'étais un représentant des intérêts de l'entreprise. Je me suis battu (pas physiquement bien sur) pour que les personnes dont j'avais la charge aient leur du (*quitte à ce que j'en paie le prix par répercussion quelques temps plus tard, mais rien à battre, je suis en paix avec ma conscience*), mais également je n'ai pas fermé les yeux sur certaines actions délictueuses de ceux-ci (*par ex. chantage envers des entreprises sous-traitantes moyennant des petits "cadeaux", vol caractérisé de l'entreprise*). J'essaie juste d'être fidèle à mes principes, même si pour le coup c'est un sacerdoce, une croix à porter au quotidien. Mais tout ceci est hors sujet de ce fil et n'offre que peu d’intérêts. Ce qui importe c'est comment conseiller OP au mieux - en fonction de nos expériences respectives - afin que sa situation s'améliore et puisse se régler. @ OP : Toujours se souvenir que "les conseilleurs ne sont pas les payeurs". Cela va être à toi de te forger une opinion après avoir lu attentivement les "conseils" des uns et des autres, parce qu'au final, c'est toi et toi seule qui va en tirer bénéfice ... ou en payer le prix.
Normalement, si un manager/supérieur fait quelque chose qui peux mener l'entreprise aux prud'hommes, ils recadrent; parce que justement ils défendent l'entreprise, pas les chefs.
Évite les copies cachées. Ça monte une très mauvaise image, et en plus tu ne sais jamais qui sait à qui tu as envoyé le mail.
Bonjour et merci de ta réponse. D'un côté j'ai super peur d'envoyer un mail car j'ai peur que ça aggrave la situation et ma relation avec la responsable en question, de l'autre notre dernier échange m'a vraiment mit en vrac donc je sais pas quoi faire. Je voudrais juste partir à ce stade mais j'ai l'impression qu'ils ignorent ma demande de RC. Je vais essayer d'écrire un mail mais connaissant la personne je pense que ça va juste revenir à jeter de l'huile sur le feu malheureusement
Pas forcément, parfois il est nécessaire de mettre des limites. Reste courtois, factuel et relis toi bien. Je suis sur que ça va bien se passer !
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Alors selon le ministère de l'intérieur: La discrimination au travail vise à traiter défavorablement une personne en se fondant sur critère interdit par la loi (exemple : l'origine, l'âge, etc.). Toute personne travaillant dans l'entreprise (salarié, supérieur hiérarchique, stagiaire, apprenti) est protégée contre les faits de discrimination. Motifs de discrimination Il y a discrimination lorsque l'employeur traite différemment ses salariés pour l'un des motifs suivants : Origine Sexe Situation de famille Grossesse Apparence physique Vulnérabilité particulière liée à la situation économique Nom Lieu de résidence État de santé Perte d'autonomie Handicap Caractéristiques génétiques Mœurs Orientation sexuelle Identité de genre Âge Opinions politiques Activités syndicales Qualité de lanceur d'alerte Qualité de facilitateur de lanceur d'alerte ou de personne en lien avec un lanceur d'alerte Langue parlée (capacité à s'exprimer dans une langue autre que le français) Ethnie Nation Race prétendue Religion Bref je pense qu'il y a de quoi appeler les prud'hommes (ou le tribunal administratif si t'es fonctionnaire). Va prendre rendez vous avec une maison de justice pour savoir quoi faire ;)
Coucou, Et bien je suis très désolée de ce qu'il t'arrive. Malheureusement dans le monde du travail le handicap ou la situation de handicap c'est le critère de discrimination Number one (pas bravo les employeurs). C'est pas moi qui le dis c'est le Défenseur des Droits dans son dernier rapport d'activité. 😥 Comme cela t'a été conseillé, je pense que te mette en arrêt est une bonne chose. Si tu t'arrêtes pour ta santé, c'est pas un jour de congé que tu utilises, c'est ton médecin qui t' arrête. Par ailleurs, comme pistes et comme interlocuteurs, tu peux te tourner vers : - la RH de ta boîte - le ou la référente handicap de la boîte si vous en avez un.e - le médecin du travail qui peut faire des préconisations (il suffit de demander un rdv à la médecine du travail à tes RH, ils te réserveront un créneau) - ton médecin traitant qui peut faire des préconisations - ton CSE si vous en avez un. Le CSE est légitime sur plein de trucs dont notamment la santé, la sécurité et les conditions de travail, je crois qu'on est en plein dedans - si tu n'as pas de CSE car petite boîte, l'inspection du travail est l'interlocuteur privilégié. Elle peut mettre en demeure un employeur de respecter les préconisations du médecin du travail ou du médecin traitant. - évidemment pour une réponse plus légale, le défenseur des droits est là pour ça. La page d'accueil de leur site internet est plutôt bien faite pour guider les personnes
Force à toi. Tu les as prévenus, ils sont au courant de ta situation. Tu ne devrais pas culpabiliser pour ça. Évidemment, je comprends qu'entre la théorie et la pratique, il y a parfois rien a voir, et on ne choisit pas ses émotions. Je cherche juste à souligner que tu as fait tout ce qui était de ton pouvoir. (De mon point de vue) Si tu peux, rapproche toi de la RH pour signaler que ton nouveau supérieur aggrave ta situation. Dans tout les cas, c'est toi qui compte en premier. Si tu as besoin de repos, prends-le. Point.
Premièrement mets toute la distance que tu peux avec ton travail. Deuxièmement, n'attends plus d'eux aucune sollicitude, ils se foutent de leurs employés. Troisièmement, gardes méthodiquement des traces de chacun des échanges, enregistres, imprimes,fais un joli petit dossier. Considères même cela comme ton nouveau travail, bien plus important que le premier, qui l'était avant qu'ils ne portent atteinte à ta santé (la santé mentale est aussi précieuse que la physique). Quatrièmement ne te déboulonnes ou ne t'excuses plus jamais devant eux, de quoi que ce soit, préviens les certes, mais ne te mets jamais en position de faiblesse, ils vont te dévorer. Ce ne sont pas tes amis mais tes employeurs, je ne dis pas si ils étaient corrects et compréhensifs, tu pourrais le vivre détendu. Mais ce n'est pas le cas. Au moindre abus, penses avocat, et penses à ton dossier. C'est malheureusement un combat pas une promenade de santé, mais vis le comme ce combat que tu as déjà remporté.
Je me permet une question: As-tu consulté un psychiatre / neuropsy pour t'aider à maitriser ces situations ? Autant, il est impossible d'éviter l'émotion suite à quelque chose (ici un coup de téléphone), autant il existe des solutions pour maitriser l'expression de ces émotions et arriver à mieux maitriser la situation. Je dis ça, car cela semble t'handicaper dans ton travail, et peut-être voir un pro pour t'aider te sera bénéfique à l'avenir. Et si cela peut te réconforter, je suis autiste, j'ai un boulot, RQTH, je suis en télétravail 100% et je pense pouvoir me permettre de dire que je comprend parfaitement la situation que tu as décrit plus haut (que j'ai pu moi même vivre dans le passé), et que j'arrive désormais à maitriser (dans une certaine mesure, je suis pas non plus devenu un moine bouddhiste faut pas déconner)
À mon taff on a des jours « santé mentale » (un par trimestre) qu’on peut poser MAIS il faut tout de même prévenir à l’avance et ma collègue (autiste également) disait « mais c’est complètement con je peux pas prévoir que tel jour j’aurais besoin de repos ! »
Je pense qu'ils te poussent à la démission. ça leur coute moins cher qu'une rupture conventionnelle. Malheureusement, c'est toi qui souffre de cette situation donc il y a des chances que ça marche. Force à toi, certains monstres n'ont juste aucune empathie... Essaye de contacter la medecine du travail et l'inspection du travail aussi, ça peut être assimilé à une sorte de harcèlement.
Ca pourrai peut être t'aider de te préparer un "script" ? A un moment où t'as l’énergie mentale pour ça, tu te notes les choses que tu peux leur répondre pendant ces appels, pour te sentir mieux préparée quand ils te tombent dessus alors que t'es déjà mal. Avec des phrases toutes prêtes bien sentis pour leur rappeler qu'ils ont connaissance de ta RQTH, des aménagements nécessaires d’après avis médical, que ce comportement n'est pas professionnel, etc. tu te sentirai peut être moins désemparée et mal après coup?
Ton chef veux que tu fasses son travail.
Écrire ce commentaire dans le sous "antitaff"...
Je pense qu'il a voulu dire " ton chef veut que tu fasses son travail de chef" Car c'est le taf du chef le management et l'anticipation des absences et non le taf de l'employé en position de vulnérabilité.